«Dehors. Dehors. Dehors. Il doit partir. Non seulement m'a-t-il maltraité, il a aussi manqué de respect à mes coéquipiers. Il a tenu des propos délirants à leur endroit, et ils n'avaient rien fait. Ils marchaient sur le trottoir, c'est tout.
J'aurais pu baisser ma fenêtre à ce moment précis, a-t-il avoué. Je ne voulais pas attirer les regards et avoir les caméras sur moi. Mais au bout du compte, je dois suivre les règles comme le commun des mortels.
Maintenant, est-ce que ça leur donne le droit de me servir une raclée, carrément?»