«Avoir des dirigeants et des personnes avec du pouvoir décisionnel qui ont une ouverture d'esprit permet d'ouvrir la porte à la totalité des candidats et non seulement 50 %. Je pense que j'ai été très fortunée dans ma carrière avec des personnes comme Jim Popp, Howie Roseman ou mon patron actuel, Andrew Berry, qui pensent de cette façon-là. De plus en plus où l'on va avoir des gens en position de pouvoir décisionnel qui ont cette ouverture, ça va nous aider.
Pour moi, c'est important aussi d'aider des femmes à faire progresser leur carrière verticalement. Il y a plusieurs femmes dans des positions d'entrée, mais pourquoi pas une femme comme directrice du développement sportif? Je ne vois plus les limites que l'on voyait traditionnellement, on s'en va dans la bonne direction.»