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Les Alouettes de Montréal poursuivent leur saison avec une résilience impressionnante, malgré une situation exceptionnelle à la position de quart-arrière.
La formation montréalaise a dû compter sur quatre différents partants depuis le début de la campagne, un défi qui aurait pu faire dérailler plusieurs équipes de la LCF.
Pourtant, les résultats demeurent solides et la position au classement reflète une constance remarquable.
L’ancien joueur de la LCF et chroniqueur pour le Journal de Montréal, Marc Calixte, souligne tout de même la résilience de ce groupe, malgré les embûches évidentes.
« Somme toute, il s’agit d’une très bonne position au classement pour les Alouettes, considérant le fait qu’ils ont dû utiliser quatre différents joueurs à la position de quart-arrière partant », via le Journal de Montréal.
L’analyste a même tracé un parallèle frappant avec le monde du hockey, pour mieux illustrer l’ampleur de la situation.
« Imaginez un peu si le Canadien de Montréal était privé de Samuel Montembeault, Jakub Dobes et Jacob Fowler au cours de la prochaine saison », a lancé Calixte.
Une comparaison qui met en perspective le défi colossal auquel Montréal fait face cette année.
Une équipe qui refuse de plier
Malgré ce défi, les Alouettes démontrent une profondeur et une solidarité enviables.
Le personnel d’entraîneurs a su s’adapter à chaque changement derrière le centre, tandis que la défensive maintient un niveau d’exécution élevé.
Cette capacité à surmonter l’adversité témoigne non seulement du caractère de l’équipe, mais aussi de sa maturité collective.
Avec plusieurs semaines encore au calendrier, la performance des Alouettes pourrait devenir un modèle de résilience dans la LCF. Si la stabilité au poste de quart se confirme, Montréal pourrait bien transformer cette saison semée d’embûches en une véritable histoire de succès.
