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Le Québécois a vécu cet environnement hostile pas plus tard que l’an dernier alors qu’il était un membre des Tiger-Cats d’Hamilton.
«Spécialement à l’offensive, une fois que tu es sur le terrain, le bruit est fatigant, tu viens à te demander si le volume n’a pas été amplifié. Nous nous étions préparés en conséquence, l’an dernier, avant la demi-finale. À l’entraînement, on avait mis des haut-parleurs avec le bruit de la foule de Montréal pour la simuler. Encore là, ça n’arrivait pas à la cheville… Quand tu es le club visiteur, ç’a un impact négatif, c’est sûr à 100%!» – Sean Thomas Erlington via une entrevue de Benoit Rioux
Finale de l’Est: Sean Thomas Erlington préfère avoir la foule montréalaise de son bord